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*Cognitive Grammar*: TRICOLOR THE LAST [Hymns to Society in General]
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Jeff Rubard
2010-02-03 20:37:03 UTC
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New Style:

http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
Anyhoo,

Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
*ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not desirous
of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the Swiss
Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
'linguistic understanding' might take.

Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*: and
certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément* 'occur'
to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the Radical's
"importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
people you have *sorely tried* or you will look, rather,
"unintelligent".

Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
who have read the Roy Harris edition "understand things better", tho'.
SMOOVE B!


PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.

*proto-sociologué*

----

Fuer Thomas Fararo *mon mento íré*:
http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html

----

LIVRE I : LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL


CHAPITRE I : MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION

Sens du mot fonction

I. La fonction de la division du travail n'est pas de produire la
civilisation

II. Cas où la fonction de la division du travail est de susciter des
groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la source
principale de leur cohésion

III. Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
restitutive

CHAPITRE II: SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES

I. Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit répressif
est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.

Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se retrouvent les
mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
définis de la conscience collective ; sens exact de cette proposition.
- Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
précédente

II. Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle doit
rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de ces
caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
l'intermédiaire d'un corps constitué

III. Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui soient,
déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique qu'ils
sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel la
réaction s'exerce

IV. Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
fraction du système complet des règles juridiques que représente le
droit pénal


CHAPITRE III: LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU ORGANIQUE

1. La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les règles
correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
rapports sont positifs ou négatifs

II. Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils sont
négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
sociale

III. Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la division
du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.

IV. Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui dérive
des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A celle-
là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif


CHAPITRE IV : AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE

(Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
orthographiqué et americaine*)

[FIN]
Jeff Rubard
2010-02-03 21:05:28 UTC
Permalink
On Feb 3, 12:37 pm, Jeff Rubard <***@gmail.com> wrote:

> IV.     Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui dérive
> des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
> mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
> la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A celle-
> là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif
>
> CHAPITRE IV :   AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE
>
> (Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
> orthographiqué et americaine*)
>
> [FIN]

For those newly interested in the *via media* [!!!!]:
That is how sociological French is written - *without accenture* and
wit' a "twist of the wrist": in E. Durkheim's /case/ - the sho-nuff
Americanism [PROUST!] *conscience collective* - *really* - and that's /
pretty interesting/, right?
Jeff Rubard
2010-02-05 04:31:31 UTC
Permalink
New Style:

http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
Anyhoo,

Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
*ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not desirous
of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the Swiss
Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
'linguistic understanding' might take.

Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*: and
certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément* 'occur'
to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the Radical's
"importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
people you have *sorely tried* or you will look, rather,
"unintelligent".

Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
who have read the Roy Harris edition "understand things better", tho'.
SMOOVE B!

PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.

*proto-sociologué*

----

Fuer Thomas Fararo *mon mento íré*:
http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html

----

LIVRE I : LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL

CHAPITRE I : MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION

Sens du mot fonction

I. La fonction de la division du travail n'est pas de produire la
civilisation

II. Cas où la fonction de la division du travail est de susciter
des
groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la source
principale de leur cohésion

III. Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
restitutive

CHAPITRE II: SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES

I. Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit
répressif
est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.

Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se
retrouvent les
mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
définis de la conscience collective ; sens exact de cette proposition.
- Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
précédente

II. Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle
doit
rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de ces
caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
l'intermédiaire d'un corps constitué

III. Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui soient,
déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique qu'ils
sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel la
réaction s'exerce

IV. Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
fraction du système complet des règles juridiques que représente le
droit pénal

CHAPITRE III: LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU
ORGANIQUE

1. La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les
règles
correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
rapports sont positifs ou négatifs

II. Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils sont
négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
sociale

III. Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la
division
du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.

IV. Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui
dérive
des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A celle-
là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif

CHAPITRE IV : AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE

(Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
orthographiqué et americaine*)

[FIN]
Big Red Jeff Rubard
2010-02-05 18:22:52 UTC
Permalink
On Feb 4, 8:31 pm, Jeff Rubard <***@gmail.com> wrote:
> New Style:
>
> http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
> Anyhoo,
>
> Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
> tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
> republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
> makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
> their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
> *ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not desirous
> of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
> involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the Swiss
> Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
> 'linguistic understanding' might take.
>
> Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*: and
> certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément* 'occur'
> to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
> heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
> is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
> and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
> conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the Radical's
> "importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
> dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
> people you have *sorely tried* or you will look, rather,
> "unintelligent".
>
> Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
> French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
> who have read the Roy Harris edition "understand things better", tho'.
> SMOOVE B!
>
> PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
> E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.
>
> *proto-sociologué*
>
> ----
>
> Fuer Thomas Fararo *mon mento   íré*:http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html
>
> ----
>
> LIVRE I :       LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL
>
> CHAPITRE I :    MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION
>
> Sens du mot fonction
>
> I.      La fonction de la division du travail n'est pas de produire la
> civilisation
>
> II.     Cas où la fonction de la division du travail est de susciter
> des
> groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
> joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la source
> principale de leur cohésion
>
> III.    Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
> sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
> suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
> système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
> dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
> règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
> restitutive
>
> CHAPITRE II:    SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES
>
> I.      Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit
> répressif
> est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
> ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.
>
>                 Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se
> retrouvent les
> mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
> seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
> reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
> sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
> société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
> définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
> définis de la conscience collective ; sens exact de cette proposition.
> - Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
> de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
> précédente
>
> II.     Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle
> doit
> rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de ces
> caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
> graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
> réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
> été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
> l'intermédiaire d'un corps constitué
>
> III.    Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
> crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
> réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
> sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui soient,
> déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique qu'ils
> sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
> l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
> caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
> soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
> sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel la
> réaction s'exerce
>
> IV.     Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
> similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
> correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
> varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
> part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
> fraction du système complet des règles juridiques que représente le
> droit pénal
>
> CHAPITRE III:   LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU
> ORGANIQUE
>
> 1.      La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les
> règles
> correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
> commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
> déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
> rapports sont positifs ou négatifs
>
> II.     Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils sont
> négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
> entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
> s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
> suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
> règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
> mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
> sociale
>
> III.    Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la
> division
> du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
> qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
> proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
> Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.
>
> IV.     Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui
> dérive
> des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
> mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
> la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A celle-
> là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif
>
> CHAPITRE IV :   AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE
>
> (Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
> orthographiqué et americaine*)
>
> [FIN]

Inhaltsverzeichnis Sehnsucht nach dem Tode


--------------------------------------------------------------------------------




1
Welcher Lebendige, Sinnbegabte, liebt nicht vor allen
Wundererscheinungen des verbreiteten Raums um ihn das allerfreuliche
Licht - mit seinen Farben, seinen Strahlen und Wogen; seiner milden
Allgegenwart, als weckender Tag. Wie des Lebens innerste Seele atmet
es der rastlosen Gestirne Riesenwelt, und schwimmt tanzend in seiner
blauen Flut - atmet es der funkelnde, ewigruhende Stein, die sinnige,
saugende Pflanze, und das wilde, brennende, vielgestaltete Tier - vor
allen aber der herrliche Fremdling mit den sinnvollen Augen, dem
schwebenden Gange, und den zartgeschlossenen, tonreichen Lippen. Wie
ein König der irdischen Natur ruft es jede Kraft zu zahllosen
Verwandlungen, knüpft und löst unendliche Bündnisse, hängt sein
himmlisches Bild jedem irdischen Wesen um. - Seine Gegenwart allein
offenbart die Wunderherrlichkeit der Reiche der Welt.

Abwärts wend ich mich zu der heiligen, unaussprechlichen,
geheimnisvollen Nacht. Fernab liegt die Welt - in eine tiefe Gruft
versenkt - wüst und einsam ist ihre Stelle. In den Saiten der Brust
weht tiefe Wehmut. In Tautropfen will ich hinuntersinken und mit der
Asche mich vermischen. - Fernen der Erinnerung, Wünsche der Jugend,
der Kindheit Träume, des ganzen langen Lebens kurze Freuden und
vergebliche Hoffnungen kommen in grauen Kleidern, wie Abendnebel nach
der Sonne Untergang. In andern Räumen schlug die lustigen Gezelte das
Licht auf. Sollte es nie zu seinen Kindern wiederkommen, die mit der
Unschuld Glauben seiner harren?

Was quillt auf einmal so ahndungsvoll unterm Herzen, und verschluckt
der Wehmut weiche Luft? Hast auch du ein Gefallen an uns, dunkle
Nacht? Was hältst du unter deinem Mantel, das mir unsichtbar kräftig
an die Seele geht? Köstlicher Balsam träuft aus deiner Hand, aus dem
Bündel Mohn. Die schweren Flügel des Gemüts hebst du empor. Dunkel und
unaussprechlich fühlen wir uns bewegt - ein ernstes Antlitz seh ich
froh erschrocken, das sanft und andachtsvoll sich zu mir neigt, und
unter unendlich verschlungenen Locken der Mutter liebe Jugend zeigt.
Wie arm und kindisch dünkt mir das Licht nun - wie erfreulich und
gesegnet des Tages Abschied. - Also nur darum, weil die Nacht dir
abwendig macht die Dienenden, säetest du in des Raumes Weiten die
leuchtenden Kugeln, zu verkünden deine Allmacht - deine Wiederkehr -
in den Zeiten deiner Entfernung. Himmlischer, als jene blitzenden
Sterne, dünken uns die unendlichen Augen, die die Nacht in uns
geöffnet. Weiter sehn sie als die blässesten jener zahllosen Heere -
unbedürftig des Lichts durchschaun sie die Tiefen eines liebenden
Gemüts - was einen höhern Raum mit unsäglicher Wollust füllt. Preis
der Weltkönigin, der hohen Verkündigerin heiliger Welten, der
Pflegerin seliger Liebe - sie sendet mir dich - zarte Geliebte -
liebliche Sonne der Nacht - nun wach ich - denn ich bin dein und mein
- du hast die Nacht mir zum Leben verkündet - mich zum Menschen
gemacht - zehre mit Geisterglut meinen Leib, daß ich luftig mit dir
inniger mich mische und dann ewig die Brautnacht währt.




--------------------------------------------------------------------------------

Friedrich von Hartenberg, "Hymnen an die Nacht", *1792* [!!!!]
Big Red Jeff Rubard
2010-02-05 18:24:10 UTC
Permalink
On Feb 5, 10:22 am, Big Red Jeff Rubard
<***@gmail.com> wrote:
> On Feb 4, 8:31 pm, Jeff Rubard <***@gmail.com> wrote:
>
> > New Style:
>
> >http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
> > Anyhoo,
>
> > Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
> > tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
> > republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
> > makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
> > their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
> > *ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not desirous
> > of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
> > involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the Swiss
> > Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
> > 'linguistic understanding' might take.
>
> > Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*: and
> > certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément* 'occur'
> > to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
> > heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
> > is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
> > and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
> > conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the Radical's
> > "importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
> > dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
> > people you have *sorely tried* or you will look, rather,
> > "unintelligent".
>
> > Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
> > French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
> > who have read the Roy Harris edition "understand things better", tho'.
> > SMOOVE B!
>
> > PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
> > E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.
>
> > *proto-sociologué*
>
> > ----
>
> > Fuer Thomas Fararo *mon mento   íré*:http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html
>
> > ----
>
> > LIVRE I :       LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL
>
> > CHAPITRE I :    MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION
>
> > Sens du mot fonction
>
> > I.      La fonction de la division du travail n'est pas de produire la
> > civilisation
>
> > II.     Cas où la fonction de la division du travail est de susciter
> > des
> > groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
> > joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la source
> > principale de leur cohésion
>
> > III.    Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
> > sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
> > suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
> > système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
> > dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
> > règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
> > restitutive
>
> > CHAPITRE II:    SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES
>
> > I.      Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit
> > répressif
> > est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
> > ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.
>
> >                 Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se
> > retrouvent les
> > mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
> > seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
> > reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
> > sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
> > société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
> > définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
> > définis de la conscience collective ; sens exact de cette proposition.
> > - Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
> > de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
> > précédente
>
> > II.     Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle
> > doit
> > rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de ces
> > caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
> > graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
> > réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
> > été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
> > l'intermédiaire d'un corps constitué
>
> > III.    Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
> > crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
> > réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
> > sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui soient,
> > déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique qu'ils
> > sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
> > l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
> > caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
> > soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
> > sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel la
> > réaction s'exerce
>
> > IV.     Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
> > similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
> > correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
> > varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
> > part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
> > fraction du système complet des règles juridiques que représente le
> > droit pénal
>
> > CHAPITRE III:   LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU
> > ORGANIQUE
>
> > 1.      La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les
> > règles
> > correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
> > commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
> > déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
> > rapports sont positifs ou négatifs
>
> > II.     Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils sont
> > négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
> > entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
> > s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
> > suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
> > règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
> > mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
> > sociale
>
> > III.    Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la
> > division
> > du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
> > qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
> > proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
> > Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.
>
> > IV.     Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui
> > dérive
> > des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
> > mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
> > la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A celle-
> > là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif
>
> > CHAPITRE IV :   AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE
>
> > (Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
> > orthographiqué et americaine*)
>
> > [FIN]
>
> Inhaltsverzeichnis  Sehnsucht nach dem Tode
>
> ---------------------------------------------------------------------------­-----
>
> 1
> Welcher Lebendige, Sinnbegabte, liebt nicht vor allen
> Wundererscheinungen des verbreiteten Raums um ihn das allerfreuliche
> Licht - mit seinen Farben, seinen Strahlen und Wogen; seiner milden
> Allgegenwart, als weckender Tag. Wie des Lebens innerste Seele atmet
> es der rastlosen Gestirne Riesenwelt, und schwimmt tanzend in seiner
> blauen Flut - atmet es der funkelnde, ewigruhende Stein, die sinnige,
> saugende Pflanze, und das wilde, brennende, vielgestaltete Tier - vor
> allen aber der herrliche Fremdling mit den sinnvollen Augen, dem
> schwebenden Gange, und den zartgeschlossenen, tonreichen Lippen. Wie
> ein König der irdischen Natur ruft es jede Kraft zu zahllosen
> Verwandlungen, knüpft und löst unendliche Bündnisse, hängt sein
> himmlisches Bild jedem irdischen Wesen um. - Seine Gegenwart allein
> offenbart die Wunderherrlichkeit der Reiche der Welt.
>
> Abwärts wend ich mich zu der heiligen, unaussprechlichen,
> geheimnisvollen Nacht. Fernab liegt die Welt - in eine tiefe Gruft
> versenkt - wüst und einsam ist ihre Stelle. In den Saiten der Brust
> weht tiefe Wehmut. In Tautropfen will ich hinuntersinken und mit der
> Asche mich vermischen. - Fernen der Erinnerung, Wünsche der Jugend,
> der Kindheit Träume, des ganzen langen Lebens kurze Freuden und
> vergebliche Hoffnungen kommen in grauen Kleidern, wie Abendnebel nach
> der Sonne Untergang. In andern Räumen schlug die lustigen Gezelte das
> Licht auf. Sollte es nie zu seinen Kindern wiederkommen, die mit der
> Unschuld Glauben seiner harren?
>
> Was quillt auf einmal so ahndungsvoll unterm Herzen, und verschluckt
> der Wehmut weiche Luft? Hast auch du ein Gefallen an uns, dunkle
> Nacht? Was hältst du unter deinem Mantel, das mir unsichtbar kräftig
> an die Seele geht? Köstlicher Balsam träuft aus deiner Hand, aus dem
> Bündel Mohn. Die schweren Flügel des Gemüts hebst du empor. Dunkel und
> unaussprechlich fühlen wir uns bewegt - ein ernstes Antlitz seh ich
> froh erschrocken, das sanft und andachtsvoll sich zu mir neigt, und
> unter unendlich verschlungenen Locken der Mutter liebe Jugend zeigt.
> Wie arm und kindisch dünkt mir das Licht nun - wie erfreulich und
> gesegnet des Tages Abschied. - Also nur darum, weil die Nacht dir
> abwendig macht die Dienenden, säetest du in des Raumes Weiten die
> leuchtenden Kugeln, zu verkünden deine Allmacht - deine Wiederkehr -
> in den Zeiten deiner Entfernung. Himmlischer, als jene blitzenden
> Sterne, dünken uns die unendlichen Augen, die die Nacht in uns
> geöffnet. Weiter sehn sie als die blässesten jener zahllosen Heere -
> unbedürftig des Lichts durchschaun sie die Tiefen eines liebenden
> Gemüts - was einen höhern Raum mit unsäglicher Wollust füllt. Preis
> der Weltkönigin, der hohen Verkündigerin heiliger Welten, der
> Pflegerin seliger Liebe - sie sendet mir dich - zarte Geliebte -
> liebliche Sonne der Nacht - nun wach ich - denn ich bin dein und mein
> - du hast die Nacht mir zum Leben verkündet - mich zum Menschen
> gemacht - zehre mit Geisterglut meinen Leib, daß ich luftig mit dir
> inniger mich mische und dann ewig die Brautnacht währt.
>
> ---------------------------------------------------------------------------­-----
>
> Friedrich von Hartenberg, "Hymnen an die Nacht", *1792* [!!!!]

---------------------------------------------------------------------------­-----

Kool Keith, "Blue Flowers"
http://www.youtube.com/watch?v=V9VYzNUXGDA
Big Red Jeff Rubard
2010-02-13 02:53:34 UTC
Permalink
New Style:

http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
Anyhoo,


Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
*ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not
desirous
of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the
Swiss
Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
'linguistic understanding' might take.


Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*:
and
certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément*
'occur'
to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the
Radical's
"importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
people you have *sorely tried* or you will look, rather,
"unintelligent".


Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
who have read the Roy Harris edition "understand things better",
tho'.
SMOOVE B!


PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.


*proto-sociologué*


----


Fuer Thomas Fararo *mon mento íré*:
http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html


----


LIVRE I : LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL


CHAPITRE I : MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION


Sens du mot fonction


I. La fonction de la division du travail n'est pas de produire
la
civilisation


II. Cas où la fonction de la division du travail est de susciter
des
groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la
source
principale de leur cohésion


III. Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
restitutive


CHAPITRE II: SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES


I. Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit
répressif
est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.


Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se
retrouvent les
mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
définis de la conscience collective ; sens exact de cette
proposition.
- Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
précédente


II. Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle
doit
rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de
ces
caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
l'intermédiaire d'un corps constitué


III. Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui
soient,
déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique
qu'ils
sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel
la
réaction s'exerce


IV. Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
fraction du système complet des règles juridiques que représente le
droit pénal


CHAPITRE III: LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU
ORGANIQUE


1. La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les
règles
correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
rapports sont positifs ou négatifs


II. Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils
sont
négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
sociale


III. Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la
division
du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.


IV. Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui
dérive
des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A
celle-
là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif


CHAPITRE IV : AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE


(Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
orthographiqué et americaine*)


[FIN]


---- [!!!!]


“I do not now have, nor have I ever had, knowledge of
antiquity” (Three Views of Nietzsche)
Now, a longer item on Nietzsche. Nietzsche is actually one of my less-
favorite philosophers, because his text is functionally incoherent;
anyone can, more or less by design, read anything out of the wreckage
of the prominent scholar’s life. However, what I have to read out of
it is three separate things quite unrelated to Nietzsche as he has
been presented, and “subreptively understood”, for decades.

Firstly, the most important thing Nietzsche teaches you is the secrets
of true philological scholarship, and that they are in large part
secrets to the philologists themselves. Nietzsche’s “genealogical”
reasoning, applied to the origins and nature of modern morality (as
opposed to the Moralitaet der Sitten) but also to his own “Polish”
name, reflects the reality of texts deriving from some more or less
distant antiquity: we do not, cannot, know their true provenance and
character with certainty. Perhaps the epic of Gilgamesh is a joke;
perhaps Linear A is art.

Due to this unshakeable reality of true learning, when we attempt to
bring modernity into focus, we must needs understand that our
interpretation of texts and to some extent other phenomena is, like
Nietzsche’s understanding of his name as that of a Polish nobleman
rather than of an Ostpreussische government official or shtetl
resident in faraway Rus, relative to our personal purposes and
interests: “perspectival”. Perhaps in some cases one’s perspective
aligns with that of humanity in general at a time (Hegel) or
throughout history (the other guy); however, perhaps in many cases,
sometimes not.

Secondly, despite whatever you heard Nietzsche’s critique of the
Christian religion is perennially unpleasant and unconvincing for the
committed Marxist; if there is no God, just so, and “willing reality”
becomes rather easy and pleasant when one is not in a “state of
exception”. However, Nietzsche’s “consistent atheism” is rather more
particularist than usually presented: to use an anachronism, it is
something like “open-source Lutheranism”, the son of a preacher man
explaining the German Protestant faith. The hoary narrative goes:
“Once I believed in Christ so completely that I paid for it dearly;
now I do not believe in him in my mind, and my actions are coordinated
by a principle of least harm, but at the end of my life I will reflect
on what I have done right and wrong and what I will be judged for.”
Nietzsche’s own particular rejoinder: “I really do not believe in a
god; yet how can I be any different from you, who are already a true
nihilist?”

Finally, a “power-political”, that is to say critical-theoretic,
interpretation of Nietzsche’s own personal history. We all know that
Kant was a great supporter of the French Revolution, but perhaps (as
with much with him) that was not completely in a spirit of true love
for one’s fellow-man; perhaps the French had learned much from him,
and he felt cheated by what should have been the German revolution; so
much so that he continued on producing more and more outre works, to
outrage the censors and “revalue values”. It is well known that
Nietzsche had a considerable role in the establishment of the German
Empire, through his friendship with Wagner, his service in the Franco-
Prussian War, and his admiration for Bismarck: “‘Are there any German
philosophers? Are there German poets? Are there good German books?’
they ask me abroad. I blush, but with the courage which I maintain
even in desperate situations I reply: ‘Well, Bismarck!’” This is no
joke, yet the immediately preceding sentence in Twilight of the Idols
gives Nietzsche’s assessment of what imperium wrought.

“The Germans are now bored with the spirit, the Germans now mistrust
the spirit; politics swallows up all serious concern for really
spiritual matters—’Deutschland, Deutschland ueber alles,’ I fear that
was the end of German philosophy …” In other words, the Imperial
Germans had forgotten Fichte’s Addresses to the German Nation, the
idea that anyone who was for the spirit was with Germany, and the
revolution that Germany should have had — complete with questionable
women of limited “virtue” — must happen elsewhere, across Europe and
in secret.


---- [!!]


Three Varieties of English (Analytic Philosophy of the British
Language)
“Analytic philosophy” is a difficult intellectual enterprise to
understand. The Stanford Encyclopedia of Philosophy has this to say
about “Analysis”:

Analysis has always been at the heart of philosophical method, but it
has been understood and practised in many different ways. Perhaps, in
its broadest sense, it might be defined as a process of isolating or
working back to what is more fundamental by means of which something,
initially taken as given, can be explained or reconstructed. The
explanation or reconstruction is often then exhibited in a
corresponding process of synthesis.

However, a focus on “rigor in logic and argument” that exceeds the
resources of theoretical logic and rhetoric is, like Operation Market
Garden, “A Bridge Too Far”: an impossible thing that hapless peons
were made to do precisely for the purpose of studying them fail with
extreme prejudice. The true character of “philosophical analysis”
derives from the faint witticism present in the German word Analyse:
it is to “explain away” some un-understandable pseudo-problem of
intellectual life without remainder: this was an essential task in the
Austria of the Vienna Circle, and although there is often some point
to “synthesis” the idea has not lost all utility on account of new
intellectual movements.

Let me apply the tools of analytic philosophy, such as I understand
them, to the underlying Problematiken of English (both its British and
“Irish” versions). The “initial conditions” for the creation of the
English tongue were other than is commonly thought: rather than being
a pure expression of Anglistik, Old English is actually an archaic
version of Danish. Like all non-Greek, non-Indian “Indo-European”
languages Danish is actually Latinate: however, it is a somewhat funny
version thereof.

An excellent way to consider “Danish English” is through thinking of
Kierkegaard, the great Danish philosopher. We have heard tell of many
stories about the theologian and gadabout, intellectual seducer and
arch-conservative: we have heard tell of them, and the real message of
the Kierkegaardian work is that we know nothing of him at all. In
other words, the greatest Dane relieves us of the need to understand
his paramours, his finances, his enemies or his political commitment;
there is only writing, writing pleasant enough to all.

After a Conquest hardly deserving of the name, a Norman element was
introduced into English by some people: the basic idea was this. “Hi,
we’re Archie Bell and the Drells of Houston, Texas and we not only
sing, we dance just as good as we want. In Houston we just started a
new dance called the ‘Tighten Up’. This is the music you tighten up
with.” In other words, Anglo-Norman English is resolutely
unphilosophical: as can be seen in the work of Chaucer, there is no
idea worth validating at the cost of one’s life. However, it is true
that certain condiciouns of happinesse were set down for certain
people and this resulted in manifold unhappinesses eventually solved
en style radicale by

New English, whicha incorporates many concepts from other countries,
literalmente through allowing their definition to be controlled by
agients of foreign state power. In Britain the “neatest” form ov this
was the “stock Latin phrase”, which one would never truly grasp the
meaning of: in America a pastiche-parody of “confusion of tongues” in
lieu of sing-song, and then a rigidified tribute to pensee
republicaine in the form of What Everyone Does Unless They Don’t Care
To, Dig, and then Nō English at all — a variant on the “ultramodern”
elements of written French, where punctuation tells various stories
about why sense must make way for art. However, why feel compelled to
speak an unspeakable language instead of saying just exactly what you
want since you couldn’t possibly speak it wrong, or something entirely
different?


----


NB: From whence "there was a feeling in the country at the time" – –
*I* do not choose *Incohäerenz* though [!!]

For Rixford and Eleanor
Jeffrey Rubard
2022-01-17 04:37:32 UTC
Permalink
On Friday, February 12, 2010 at 6:53:34 PM UTC-8, Big Red Jeff Rubard wrote:
> New Style:
> http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
> Anyhoo,
> Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
> tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
> republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
> makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
> their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
> *ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not
> desirous
> of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
> involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the
> Swiss
> Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
> 'linguistic understanding' might take.
> Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*:
> and
> certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément*
> 'occur'
> to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
> heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
> is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
> and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
> conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the
> Radical's
> "importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
> dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
> people you have *sorely tried* or you will look, rather,
> "unintelligent".
> Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
> French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
> who have read the Roy Harris edition "understand things better",
> tho'.
> SMOOVE B!
> PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
> E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.
> *proto-sociologué*
>
> ----
> Fuer Thomas Fararo *mon mento íré*:
> http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html
> ----
> LIVRE I : LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL
> CHAPITRE I : MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION
> Sens du mot fonction
> I. La fonction de la division du travail n'est pas de produire
> la
> civilisation
> II. Cas où la fonction de la division du travail est de susciter
> des
> groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
> joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la
> source
> principale de leur cohésion
> III. Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
> sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
> suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
> système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
> dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
> règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
> restitutive
> CHAPITRE II: SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES
> I. Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit
> répressif
> est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
> ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.
> Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se
> retrouvent les
> mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
> seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
> reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
> sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
> société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
> définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
> définis de la conscience collective ; sens exact de cette
> proposition.
> - Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
> de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
> précédente
> II. Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle
> doit
> rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de
> ces
> caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
> graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
> réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
> été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
> l'intermédiaire d'un corps constitué
> III. Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
> crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
> réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
> sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui
> soient,
> déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique
> qu'ils
> sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
> l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
> caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
> soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
> sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel
> la
> réaction s'exerce
> IV. Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
> similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
> correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
> varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
> part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
> fraction du système complet des règles juridiques que représente le
> droit pénal
> CHAPITRE III: LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU
> ORGANIQUE
> 1. La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les
> règles
> correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
> commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
> déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
> rapports sont positifs ou négatifs
> II. Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils
> sont
> négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
> entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
> s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
> suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
> règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
> mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
> sociale
> III. Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la
> division
> du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
> qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
> proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
> Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.
> IV. Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui
> dérive
> des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
> mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
> la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A
> celle-
> là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif
> CHAPITRE IV : AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE
> (Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
> orthographiqué et americaine*)
> [FIN]
>
> ---- [!!!!]
>
> “I do not now have, nor have I ever had, knowledge of
> antiquity” (Three Views of Nietzsche)
> Now, a longer item on Nietzsche. Nietzsche is actually one of my less-
> favorite philosophers, because his text is functionally incoherent;
> anyone can, more or less by design, read anything out of the wreckage
> of the prominent scholar’s life. However, what I have to read out of
> it is three separate things quite unrelated to Nietzsche as he has
> been presented, and “subreptively understood”, for decades.
> Firstly, the most important thing Nietzsche teaches you is the secrets
> of true philological scholarship, and that they are in large part
> secrets to the philologists themselves. Nietzsche’s “genealogical”
> reasoning, applied to the origins and nature of modern morality (as
> opposed to the Moralitaet der Sitten) but also to his own “Polish”
> name, reflects the reality of texts deriving from some more or less
> distant antiquity: we do not, cannot, know their true provenance and
> character with certainty. Perhaps the epic of Gilgamesh is a joke;
> perhaps Linear A is art.
> Due to this unshakeable reality of true learning, when we attempt to
> bring modernity into focus, we must needs understand that our
> interpretation of texts and to some extent other phenomena is, like
> Nietzsche’s understanding of his name as that of a Polish nobleman
> rather than of an Ostpreussische government official or shtetl
> resident in faraway Rus, relative to our personal purposes and
> interests: “perspectival”. Perhaps in some cases one’s perspective
> aligns with that of humanity in general at a time (Hegel) or
> throughout history (the other guy); however, perhaps in many cases,
> sometimes not.
> Secondly, despite whatever you heard Nietzsche’s critique of the
> Christian religion is perennially unpleasant and unconvincing for the
> committed Marxist; if there is no God, just so, and “willing reality”
> becomes rather easy and pleasant when one is not in a “state of
> exception”. However, Nietzsche’s “consistent atheism” is rather more
> particularist than usually presented: to use an anachronism, it is
> something like “open-source Lutheranism”, the son of a preacher man
> explaining the German Protestant faith. The hoary narrative goes:
> “Once I believed in Christ so completely that I paid for it dearly;
> now I do not believe in him in my mind, and my actions are coordinated
> by a principle of least harm, but at the end of my life I will reflect
> on what I have done right and wrong and what I will be judged for.”
> Nietzsche’s own particular rejoinder: “I really do not believe in a
> god; yet how can I be any different from you, who are already a true
> nihilist?”
> Finally, a “power-political”, that is to say critical-theoretic,
> interpretation of Nietzsche’s own personal history. We all know that
> Kant was a great supporter of the French Revolution, but perhaps (as
> with much with him) that was not completely in a spirit of true love
> for one’s fellow-man; perhaps the French had learned much from him,
> and he felt cheated by what should have been the German revolution; so
> much so that he continued on producing more and more outre works, to
> outrage the censors and “revalue values”. It is well known that
> Nietzsche had a considerable role in the establishment of the German
> Empire, through his friendship with Wagner, his service in the Franco-
> Prussian War, and his admiration for Bismarck: “‘Are there any German
> philosophers? Are there German poets? Are there good German books?’
> they ask me abroad. I blush, but with the courage which I maintain
> even in desperate situations I reply: ‘Well, Bismarck!’” This is no
> joke, yet the immediately preceding sentence in Twilight of the Idols
> gives Nietzsche’s assessment of what imperium wrought.
> “The Germans are now bored with the spirit, the Germans now mistrust
> the spirit; politics swallows up all serious concern for really
> spiritual matters—’Deutschland, Deutschland ueber alles,’ I fear that
> was the end of German philosophy …” In other words, the Imperial
> Germans had forgotten Fichte’s Addresses to the German Nation, the
> idea that anyone who was for the spirit was with Germany, and the
> revolution that Germany should have had — complete with questionable
> women of limited “virtue” — must happen elsewhere, across Europe and
> in secret.
>
> ---- [!!]
>
> Three Varieties of English (Analytic Philosophy of the British
> Language)
> “Analytic philosophy” is a difficult intellectual enterprise to
> understand. The Stanford Encyclopedia of Philosophy has this to say
> about “Analysis”:
> Analysis has always been at the heart of philosophical method, but it
> has been understood and practised in many different ways. Perhaps, in
> its broadest sense, it might be defined as a process of isolating or
> working back to what is more fundamental by means of which something,
> initially taken as given, can be explained or reconstructed. The
> explanation or reconstruction is often then exhibited in a
> corresponding process of synthesis.
> However, a focus on “rigor in logic and argument” that exceeds the
> resources of theoretical logic and rhetoric is, like Operation Market
> Garden, “A Bridge Too Far”: an impossible thing that hapless peons
> were made to do precisely for the purpose of studying them fail with
> extreme prejudice. The true character of “philosophical analysis”
> derives from the faint witticism present in the German word Analyse:
> it is to “explain away” some un-understandable pseudo-problem of
> intellectual life without remainder: this was an essential task in the
> Austria of the Vienna Circle, and although there is often some point
> to “synthesis” the idea has not lost all utility on account of new
> intellectual movements.
> Let me apply the tools of analytic philosophy, such as I understand
> them, to the underlying Problematiken of English (both its British and
> “Irish” versions). The “initial conditions” for the creation of the
> English tongue were other than is commonly thought: rather than being
> a pure expression of Anglistik, Old English is actually an archaic
> version of Danish. Like all non-Greek, non-Indian “Indo-European”
> languages Danish is actually Latinate: however, it is a somewhat funny
> version thereof.
> An excellent way to consider “Danish English” is through thinking of
> Kierkegaard, the great Danish philosopher. We have heard tell of many
> stories about the theologian and gadabout, intellectual seducer and
> arch-conservative: we have heard tell of them, and the real message of
> the Kierkegaardian work is that we know nothing of him at all. In
> other words, the greatest Dane relieves us of the need to understand
> his paramours, his finances, his enemies or his political commitment;
> there is only writing, writing pleasant enough to all.
> After a Conquest hardly deserving of the name, a Norman element was
> introduced into English by some people: the basic idea was this. “Hi,
> we’re Archie Bell and the Drells of Houston, Texas and we not only
> sing, we dance just as good as we want. In Houston we just started a
> new dance called the ‘Tighten Up’. This is the music you tighten up
> with.” In other words, Anglo-Norman English is resolutely
> unphilosophical: as can be seen in the work of Chaucer, there is no
> idea worth validating at the cost of one’s life. However, it is true
> that certain condiciouns of happinesse were set down for certain
> people and this resulted in manifold unhappinesses eventually solved
> en style radicale by
> New English, whicha incorporates many concepts from other countries,
> literalmente through allowing their definition to be controlled by
> agients of foreign state power. In Britain the “neatest” form ov this
> was the “stock Latin phrase”, which one would never truly grasp the
> meaning of: in America a pastiche-parody of “confusion of tongues” in
> lieu of sing-song, and then a rigidified tribute to pensee
> republicaine in the form of What Everyone Does Unless They Don’t Care
> To, Dig, and then Nō English at all — a variant on the “ultramodern”
> elements of written French, where punctuation tells various stories
> about why sense must make way for art. However, why feel compelled to
> speak an unspeakable language instead of saying just exactly what you
> want since you couldn’t possibly speak it wrong, or something entirely
> different?
>
> ----
>
> NB: From whence "there was a feeling in the country at the time" – –
> *I* do not choose *Incohäerenz* though [!!]
> For Rixford and Eleanor

2022 Update: It's just not our flag, people.
Big Red Jeff Rubard
2010-02-05 18:25:02 UTC
Permalink
On Feb 5, 10:24 am, Big Red Jeff Rubard
<***@gmail.com> wrote:
> On Feb 5, 10:22 am, Big Red Jeff Rubard
>
> <***@gmail.com> wrote:
> > On Feb 4, 8:31 pm, Jeff Rubard <***@gmail.com> wrote:
>
> > > New Style:
>
> > >http://www.archive.org/details/courseingenerall00saus
> > > Anyhoo,
>
> > > Ferdinand de Saussure's *Course in General Linguistics* is /all
> > > tripe/. That is because it is the only real guide to *penseé
> > > republicaíne* --- the mixture of "nonsense" and stilted talk that
> > > makes the French /the French/ and a certain measured *Distanz* from
> > > their doings "appropriate" on all /accountings/. No guide is
> > > *ordinarily* necessary for those raised in a Republic and not desirous
> > > of *improving one*, but the seriousness of the "semiotic" code
> > > involved in such a "non-granted" undertaking is *releveé* by the Swiss
> > > Saussure's notes on what form a *dispositíf* of someone's having
> > > 'linguistic understanding' might take.
>
> > > Understand that the "sign and the signifier" are *non-negotiable*: and
> > > certain other aspects of *a* /bon sens/ do not *naturellément* 'occur'
> > > to the "indisposed consciousness" --- to wit, people that 'lay it on
> > > heavy and make the wrong size fit' without your /express/ consent. It
> > > is all *nonsense on stilts*, this "botheration" of the avidge person,
> > > and one *must needs* understand that de'li'cee'ous *concets* and
> > > conjurations /fail to please/ after a time not exceeding the Radical's
> > > "importuning" of them. Grow up with the land, *Oest* or *West*, and /
> > > dig/ how you better provide an other-than-Neo-Kantian *value* for
> > > people you have *sorely tried* or you will look, rather,
> > > "unintelligent".
>
> > > Hmm? Wade Baskin is a famous "linguist of old"; I read this in a
> > > French critical edition, and it *didna* make more sense to me. People
> > > who have read the Roy Harris edition "understand things better", tho'.
> > > SMOOVE B!
>
> > > PS: BLAU! Wamsutta, Wamsutta, let-the-boys-be-boys. BLAU!
> > > E.g., the *soziologische* elements unpacked by - shut yo' mouth.
>
> > > *proto-sociologué*
>
> > > ----
>
> > > Fuer Thomas Fararo *mon mento   íré*:http://www.nap.edu/readingroom.php?book=biomems&page=pblau.html
>
> > > ----
>
> > > LIVRE I :       LA FONCTION DE LA DIVISION DU TRAVAIL
>
> > > CHAPITRE I :    MÉTHODE POUR DÉTERMINER CETTE FONCTION
>
> > > Sens du mot fonction
>
> > > I.      La fonction de la division du travail n'est pas de produire la
> > > civilisation
>
> > > II.     Cas où la fonction de la division du travail est de susciter
> > > des
> > > groupes qui, sans elle, n'existeraient pas. D'où l'hypothèse qu'elle
> > > joue le même rôle dans les sociétés supérieures, qu'elle est la source
> > > principale de leur cohésion
>
> > > III.    Pour vérifier cette hypothèse, il faut comparer la solidarité
> > > sociale qui a cette source aux autres espèces de solidarités et, par
> > > suite, les classer. Nécessité d'étudier la solidarité à travers le
> > > système des règles juridiques ; autant il y a de classes de ces
> > > dernières, autant il y a de formes de solidarités. Classification des
> > > règles juridiques : règles à sanction répressive; règles à sanction
> > > restitutive
>
> > > CHAPITRE II:    SOLIDARITÉ MÉCANIQUE OU PAR SIMILITUDES
>
> > > I.      Le lien de solidarité sociale auquel correspond le droit
> > > répressif
> > > est celui dont la rupture constitue le crime. On saura donc ce qu'est
> > > ce lien si l'on sait ce qu'est le crime essentiellement.
>
> > >                 Les caractères essentiels du crime sont ceux qui se
> > > retrouvent les
> > > mêmes partout où il y a crime, quel que soit le type social. Or, les
> > > seuls caractères communs à tous les crimes qui sont ou qui ont été
> > > reconnus comme tels sont les suivants : 1° le crime froisse des
> > > sentiments qui se trouvent chez tous les individus normaux de la
> > > société considérée ; 2° ces sentiments sont forts ; 30 ils sont
> > > définis. Le crime est donc l'acte qui froisse des états forts et
> > > définis de la conscience collective ; sens exact de cette proposition.
> > > - Examen du cas où le délit est créé ou du moins aggravé par un acte
> > > de l'organe gouvernemental. Réduction de ce cas à la définition
> > > précédente
>
> > > II.     Vérification de cette définition ; si elle est exacte, elle
> > > doit
> > > rendre compte de tous les caractères de la peine. Détermination de ces
> > > caractères ; 1° elle est une réaction passionnelle, d'intensité
> > > graduée; 2° cette réaction passionnelle émane de la société;
> > > réfutation de la théorie d'après laquelle la vengeance privée aurait
> > > été la forme primitive de la peine ; 30 cette réaction s'exerce par
> > > l'intermédiaire d'un corps constitué
>
> > > III.    Ces caractères peuvent être déduits de notre définition du
> > > crime : 1° tout sentiment fort offensé détermine mécaniquement une
> > > réaction passionnelle ; utilité de cette réaction pour le maintien du
> > > sentiment. Les sentiments collectifs, étant les plus forts qui soient,
> > > déterminent une réaction du même genre, d'autant plus énergique qu'ils
> > > sont plus intenses. Explication du caractère quasi religieux de
> > > l'expiation ; 2° le caractère collectif de ces sentiments explique le
> > > caractère social de cette réaction ; pourquoi il est utile qu'elle
> > > soit sociale ; 3° l'intensité et surtout la nature définie de ces
> > > sentiments expliquent la formation de l'organe déterminé par lequel la
> > > réaction s'exerce
>
> > > IV.     Les règles que sanctionne le droit pénal expriment donc les
> > > similitudes sociales les plus essentielles ; par conséquent, il
> > > correspond à la solidarité sociale qui dérive des ressemblances et
> > > varie comme elle. Nature de cette solidarité. On peut donc mesurer la
> > > part qu'elle a dans l'intégration générale de la société d'après la
> > > fraction du système complet des règles juridiques que représente le
> > > droit pénal
>
> > > CHAPITRE III:   LA SOLIDARITÉ DUE A LA DIVISION DU TRAVAIL OU
> > > ORGANIQUE
>
> > > 1.      La nature de la sanction restitutive implique : 1° que les
> > > règles
> > > correspondantes expriment des états excentriques de la conscience
> > > commune ou qui lui sont étrangers ; 2° que les rapports qu'elles
> > > déterminent ne lient qu'indirectement l'individu à la société. Ces
> > > rapports sont positifs ou négatifs
>
> > > II.     Rapports négatifs dont les droits réels sont le type. Ils sont
> > > négatifs parce qu'ils lient la chose à la personne, non les personnes
> > > entre elles. - Réduction à ce type des rapports personnels qui
> > > s'établissent à l'occasion de l'exercice des droits réels ou à la
> > > suite du délit et du quasi-délit. - La solidarité qu'expriment les
> > > règles correspondantes, étant négative, n'a pas d'existence propre,
> > > mais n'est qu'un prolongement des formes positives de la solidarité
> > > sociale
>
> > > III.    Rapports positifs ou de coopération qui dérivent de la
> > > division
> > > du travail. Sont régis par un système défini de règles juridiques
> > > qu'on peut appeler le droit coopératif ; vérification de cette
> > > proposition à propos des différentes parties du droit coopératif.
> > > Analogies entre la fonction de ce droit et celle du système nerveux.
>
> > > IV.     Conclusion : Deux sortes de solidarité positive, l'une qui
> > > dérive
> > > des similitudes, l'autre de la division du travail. Solidarité
> > > mécanique, solidarité organique. La première varie en raison inverse,
> > > la seconde en raison directe de la personnalité individuelle. A celle-
> > > là correspond le droit répressif, à celle-ci le droit coopératif
>
> > > CHAPITRE IV :   AUTRE PREUVE DE CE QUI PRÉCÈDE
>
> > > (Durkheim, *De la division de la travail social*, /de novo/ -- *sans
> > > orthographiqué et americaine*)
>
> > > [FIN]
>
> > Inhaltsverzeichnis  Sehnsucht nach dem Tode
>
> > ---------------------------------------------------------------------------­­-----
>
> > 1
> > Welcher Lebendige, Sinnbegabte, liebt nicht vor allen
> > Wundererscheinungen des verbreiteten Raums um ihn das allerfreuliche
> > Licht - mit seinen Farben, seinen Strahlen und Wogen; seiner milden
> > Allgegenwart, als weckender Tag. Wie des Lebens innerste Seele atmet
> > es der rastlosen Gestirne Riesenwelt, und schwimmt tanzend in seiner
> > blauen Flut - atmet es der funkelnde, ewigruhende Stein, die sinnige,
> > saugende Pflanze, und das wilde, brennende, vielgestaltete Tier - vor
> > allen aber der herrliche Fremdling mit den sinnvollen Augen, dem
> > schwebenden Gange, und den zartgeschlossenen, tonreichen Lippen. Wie
> > ein König der irdischen Natur ruft es jede Kraft zu zahllosen
> > Verwandlungen, knüpft und löst unendliche Bündnisse, hängt sein
> > himmlisches Bild jedem irdischen Wesen um. - Seine Gegenwart allein
> > offenbart die Wunderherrlichkeit der Reiche der Welt.
>
> > Abwärts wend ich mich zu der heiligen, unaussprechlichen,
> > geheimnisvollen Nacht. Fernab liegt die Welt - in eine tiefe Gruft
> > versenkt - wüst und einsam ist ihre Stelle. In den Saiten der Brust
> > weht tiefe Wehmut. In Tautropfen will ich hinuntersinken und mit der
> > Asche mich vermischen. - Fernen der Erinnerung, Wünsche der Jugend,
> > der Kindheit Träume, des ganzen langen Lebens kurze Freuden und
> > vergebliche Hoffnungen kommen in grauen Kleidern, wie Abendnebel nach
> > der Sonne Untergang. In andern Räumen schlug die lustigen Gezelte das
> > Licht auf. Sollte es nie zu seinen Kindern wiederkommen, die mit der
> > Unschuld Glauben seiner harren?
>
> > Was quillt auf einmal so ahndungsvoll unterm Herzen, und verschluckt
> > der Wehmut weiche Luft? Hast auch du ein Gefallen an uns, dunkle
> > Nacht? Was hältst du unter deinem Mantel, das mir unsichtbar kräftig
> > an die Seele geht? Köstlicher Balsam träuft aus deiner Hand, aus dem
> > Bündel Mohn. Die schweren Flügel des Gemüts hebst du empor. Dunkel und
> > unaussprechlich fühlen wir uns bewegt - ein ernstes Antlitz seh ich
> > froh erschrocken, das sanft und andachtsvoll sich zu mir neigt, und
> > unter unendlich verschlungenen Locken der Mutter liebe Jugend zeigt.
> > Wie arm und kindisch dünkt mir das Licht nun - wie erfreulich und
> > gesegnet des Tages Abschied. - Also nur darum, weil die Nacht dir
> > abwendig macht die Dienenden, säetest du in des Raumes Weiten die
> > leuchtenden Kugeln, zu verkünden deine Allmacht - deine Wiederkehr -
> > in den Zeiten deiner Entfernung. Himmlischer, als jene blitzenden
> > Sterne, dünken uns die unendlichen Augen, die die Nacht in uns
> > geöffnet. Weiter sehn sie als die blässesten jener zahllosen Heere -
> > unbedürftig des Lichts durchschaun sie die Tiefen eines liebenden
> > Gemüts - was einen höhern Raum mit unsäglicher Wollust füllt. Preis
> > der Weltkönigin, der hohen Verkündigerin heiliger Welten, der
> > Pflegerin seliger Liebe - sie sendet mir dich - zarte Geliebte -
> > liebliche Sonne der Nacht - nun wach ich - denn ich bin dein und mein
> > - du hast die Nacht mir zum Leben verkündet - mich zum Menschen
> > gemacht - zehre mit Geisterglut meinen Leib, daß ich luftig mit dir
> > inniger mich mische und dann ewig die Brautnacht währt.
>
> > ---------------------------------------------------------------------------­­-----
>
> > Friedrich von Hartenberg, "Hymnen an die Nacht", *1792* [!!!!]
>
> ---------------------------------------------------------------------------­­-----
>
> Kool Keith, "Blue Flowers"http://www.youtube.com/watch?v=V9VYzNUXGDA

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[SANITY TEST]
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